jeudi 31 décembre 2009

TRES BELLE ANNEE 2010

JE SOUHAITE A TOUTES ET A TOUS UNE EXCELLENTE ANNEE 2010.

QUE LA LUMIERE, L'AMOUR ET LA JOIE VOUS ACCOMPAGNENT TOUT AU LONG DE CETTE ANNEE DE REVELATIONS ET DE TRANSFORMATIONS.
JE REMERCIE TOUTES LES PERSONNES QUI M'ONT FAIT CONFIANCE TOUT AU LONG DE L'ANNEE 2009 ET JE LEURS SOUHAITE LA REUSSITE DE LEURS PROJETS.

QUE LA FLUIDITE DE L'UNITE VOUS ACCOMPAGNE

CHRISTINE MIRANEA

DEFINITIVEMENT SAUVE

jeudi 31 décembre 2009




"Sans qu’aucun signe avant-coureur vous en ait averti, il peut arriver que vous vous sentiez soudain envahi par la lumière : d’un seul coup votre conscience est projetée très haut dans le plan de la superconscience et vous êtes ébloui par l’immensité, la beauté dans laquelle vit votre Moi supérieur… Malheureusement, cet état ne dure pas, et vous reprenez à nouveau votre vie quotidienne avec les mêmes soucis, les mêmes faiblesses : vous vous sentez dans l’obscurité, à l’étroit, coupé de votre Moi supérieur, votre Moi divin, comme un fragment séparé du Tout… Ensuite, de nouveau, vous sentez un éclaircissement, une illumination, et là encore ce moment ne dure pas.
Mais ne vous découragez pas, continuez à travailler, à faire des efforts. Un jour, enfin, après tous ces hauts et ces bas, après toutes ces oscillations entre la clarté et les ténèbres, la lumière ne vous quittera plus, vous aurez changé de rive et vous serez définitivement sauvé.
"

Omraam Mikhaël Aïvanhov

dimanche 13 décembre 2009

Les trois yogis

samedi 12 décembre 2009


"On raconte que trois yogis, à la recherche de la perfection, étaient allés méditer dans la forêt. Un homme passe et, trouvant le premier sur son chemin, lui donne un coup. Le yogi se lève et lui en rend deux ! Pour celui-là, la perfection était encore loin, et l’histoire ne dit pas s’il reprit sa méditation. Continuant sa route, l’homme rencontre le deuxième yogi et lui donne aussi un coup. Celui-là se dresse pour rendre le coup, mais soudain il se reprend et se rassied. Lui au moins avait appris la maîtrise ! Quant au troisième yogi, il reçut le coup, mais ne s’en aperçut même pas et continua à méditer tranquillement.
La leçon est facile à tirer : le premier yogi appartenait encore à la catégorie des humains ordinaires qui ripostent en invoquant la justice, et qui, malheureusement, se laissent entraîner à l’injustice. Le deuxième était de ceux qui ont appris à se maîtriser, parce qu’ils ont réfléchi aux conséquences de leurs actes ; ils se disent : « Ce n’est pas la peine, je vais encore embrouiller les choses. » Quant au troisième, il était déjà tellement évolué qu’il n’a même pas senti qu’on le frappait."

Omraam Mikhaël Aïvanhov