Un ami à moi a lu récemment une information dans un livre spirituel canalisé où il était mentionné que les Êtres en dehors de la Terre n’avaient pas d’Âme, que celle-ci était une création correspondant uniquement à notre réalité. Mon ami et moi avons échangé nos visions de ceci, et j’ai eu envie de vous partager cet échange qui, je crois, vous apportera un éclairage nouveau sur l’Âme et ses définitions (je dis bien « ses », car il y en a plusieurs).
J’avais lu moi aussi une information similaire dans le livre Récit d’un voyageur de l’astral de Anne et Daniel Meurois-Givaudan ainsi que dans la série Soria, canalisée par Régine Françoise Fauze. Je m’étais alors longuement questionné sur ceci, surtout que l’enseignement de mon site tourne justement autour de ce terme (Psychologie de l’Âme). Voici ce que j’ai capté/compris, suite à mes réflexions. Je vous partage en gros notre échange. À vous de voir ce qui vous paraît juste dans tout ceci.
En fait, il y aurait deux définitions de l'Âme. D’abord, il y a ce que l'on appelle l'Âme humaine, c'est-à-dire l'aspect de nous qui se souvient du continuum des incarnations. Certains le nomment aussi le corps astral. Il est donc vrai de concevoir cette Âme humaine comme un élément qui a été ajouté en cours d’expérience pour palier au fait que nous mourrons et renaissons continuellement dans notre réalité, sans jamais regagner totalement notre lumière. On grandit un peu à chaque incarnation, mais quand on meurt et retourne dans le monde de l'astral supérieur, on reste quand même dans l'astral, puisque l'on est encore relié à la terre. À ce stade de notre évolution, nous ne sommes pas encore dans notre pleine lumière.
Dans cette vision de l'Âme, certains écrits vont parler que le but de l'évolution est de mourir au corps astral pour renaître dans le monde de le pensée pure, de l'Esprit unifié. Dans ce contexte, il est vrai de dire que les Êtres qui n'ont pas pénétré la 3D avec toutes ces vies, pertes de mémoire, etc., n'ont pas eu besoin de créer un corps qui allait se souvenir pendant que la conscience allait oublier, puisqu'ils n'ont jamais oublié.
L'autre définition de l'Âme, celle que les Guides que je canalise mentionnent et qui est aussi partagée dans certains écrits, c'est celle de l'Âme absolue, de cet aspect du grand Je Suis que nous sommes et qui s'unit à l'Esprit, pour former le principe masculin-féminin dans sa forme absolue.
Ces deux définitions sont un peu confondantes, j’en conviens, mais elles parlent en quelque sorte d’une même réalité. L'Âme absolue n'a pas de début et ne meurt jamais, puisque c'est ce que nous sommes dans notre forme absolue. Mais l'Âme humaine n'a pas la même réalité. C'est d'elle dont parlent certains écrits, qui la dépeigne comme un élément ajouté en cours d’aventure, comme si elle n’était pas fondamentale. D’ailleurs, les rituels qui proposent de veiller les corps pendant 3 jours après la mort afin d’assurer que l’Âme ait bien quitté font référence à cette réalité de l’Âme humaine.
Quand j'ai compris cette nuance, j'ai demandé aux Guides s'ils partageaient ma vision et j'ai senti que oui. Je leur ai demandé s'il était pertinent que j'apporte la nuance dans mes écrits et ils ont dit que de toute manière, le but de chacun est d'abord de fusionner avec l'Âme humaine, pour ensuite mourir à celle-ci et fusionner de nouveau avec le duo Âme-Esprit, véritable but de l'évolution. Donc peu importe le chemin emprunté, tout nous mène dans la même direction.
Les Guides disaient que le mot Âme éveillait beaucoup de joie et d'intériorisation chez les Êtres et qu'il était intéressant de l'utiliser, davantage que le terme Esprit qui est trop souvent associé au mental, même s'il n'est pas cela.
Voilà, j’espère que c’est plus clair maintenant.
Par Simon Leclerc le 7 février 2010
www.psychologiedelame.com
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